• Afrique berceau de l'ART MODERNE, des fois imitée, mais si souvent plagiée. L'un de ses meilleurs artistes visionnaire est "en résidence" en Ile de France. Ses toiles s'arracheront d'ici quelques années. Avant qu'elles n'atteignent la cote d'un Picasso ou d'un Miro, vous pouvez profiter pendant quelque temps encore pour les acquérir à un prix tout à fait raisonnable, l'on pourrait même dire sacrifié, au vu de la qualité de ses créations. C S-D

     

     

    Pierre Segoh,  artiste malien "en résidence" à Paris, un talent rare

     

                                                                                                               Pierre Segoh

     

    "Pierre Segoh est un artiste togolais qui ne cesse de grandir et de progresser. Il ne renie pas ses références, mais s’en nourrit et les dépasse. Il se découvre de nouveaux horizons aux bouts de doigts immenses, longs comme le fil de ses pinceaux, généreux comme ses brosses, parfois violents comme ses tampons dont il oblitère ses toiles. Il promène sa fine silhouette de dandy d’atelier en expositions de Lomé à Ouagadougou. Ses grands formats sont denses et bavards, quand ses petits dessins sont écorchés comme des figurines abandonnées, comme un carnet de croquis et d’études qu’il aurait déchiré.


    Avant de partir, enfin invité pour une « résidence à Paris », Pierre SEGOH a fait son BIGBANG à Lomé. Juste boucle de son histoire, ce sont le CCF  de Lomé et l’AFAA qui l’avaient révélé. L’Institut Français, avant déménagement, accrochera à ses dernières cimaises : les grands formats de SEGOH. Et comme rien n’est jamais figé dans l’œuvre de Pierre SEGOH, il montre aussi  et en même temps, chez Curios, le cabinet de curiosités de Michel Aveline, ses petits dessins."

     

     http://www.cabinet-curios.fr/artistes/pierre-segoh/ 

    "Peintre contemporain travaillant à bouleverser les symboles et les signes rappelant l'Afrique, son travail interpelle. "
      

    Pierre Segoh,  artiste malien en résidence en Ile de France

    Carnet du désir  

     

    Pierre Segoh,  artiste malien en résidence en Ile de France

    Jugement dernier ( 150 X 150 )  

     

    Pierre Segoh,  artiste malien "en résidence" à Paris, un talent rare

    La mutation (120 X 60)   

     

    Pierre Segoh,  artiste malien "en résidence" à Paris, un talent rare

    Le jeu mondial (120 X 60)  

     

    Pierre Segoh,  artiste malien "en résidence" à Paris, un talent rare

    La projection (150 X 150)  

     

    Pierre Segoh,  artiste malien "en résidence" à Paris, un talent rare

    Original gamme (110 X 90 ) 

     

    Certaines toiles sont encore disponibles.
    Pour tous renseignements, contactez l'association CORI&ART au 06 16 05 06 08 ou sur coriart@free.fr.

     

    Site internet : www.corietart.fr

     

     

    Christelle Akué 
    Présidente CORI & ART                                                                             
    www.corietart.fr                                                                                   

    35 place des saisons  

    La Défense 1                                                                    

                                                                                                    92400 Courbevoie-France 

    Tél. : 06 16 05 06 08 


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  • Du 14 septembre au 6 octobre à Caen 

    DEVENEZ ACTEUR SOLIDAIRE DU PROGRAMME AIMEZ CES AIRES... AIMEZ CES AIRS...A CAEN

     

    Télécharger « communique-de-Presse-en-cours-OMCM-Festival-itinerant-MARGOSE-preparation-100naire-Aime-Cesaire.pdf »

     

    Dans le cadre de l’Année Césaire, des Journées Européennes du Patrimoine et des Journées Internationales de la Paix et des Enseignants, la Ville de Caen accueille à partir du 14 sept. 2013 le programme interculturel "aimez ces air(e)s...". Cet événement original dédié aux citoyens solidaires au monde des écrivains poètes visionnaires martiniquais du 20ème siècle, que sont Suzanne et Aimé Césaire, Frantz Fanon, Joseph Zobel,  Édouard Glissant, s’inscrit dans le cadre d’un projet d’envergure internationale.

     

    Avec l’appui de l’UNESCO et les soutiens de l’OIF, l’ONACVG, de Vent d’Images, de l’association Salem, des acteurs culturels et économiques locaux, nationaux, internationaux, de ses partenaires et bénévoles, le programme "aimez ces air(e)s..." porté par l’OMCM, est enrichi de performances artistiques, de tournages et projections de films, d'expositions, de résidence d'artistes, d'ateliers pluridisciplinaires, de rencontres dédicaces avec les invité(e)s d’honneur : Stéphanie James, Euzhan Palcy, Pascal Légitimus, Max Cilla, Fabrice Di Falco, Awini Dimpaï, Jacques Coursil, Christophe Mert, Malik Duranty, Olivier Lagnel, Davy Sicard, …



    Dans le monde des femmes et des hommes militants pour l’universel réconcilié, nous parlent de leurs engagements, de nos héros connus, méconnus ou inconnus d’ascendance africaine, mais aussi se mobilisent, pour soutenir nos belles initiatives spirituelles et poétiques d’histoire et d’avenir à construire ensemble. 


    Notamment, l’ouverture symbolique des "Portes… de l’Espoir ", les performances "aimez ces air(e)s de Plaidoiries… pour les Droits de l'Homme", et celles de nos "Chœurs solidaires" d’une centaine de voix liées, de voies liées, de voiliers...


    AIMEZ CES AIRS ... AIMEZ CES AIRES ...


    " L’espace Aimé Césaire est l’espace même du monde, sans limites et sans cloisons ", cette dédicace écrite en 2008 par Edouard Glissant à Christian Ortolé (médiateur interculturel), exprime son soutien pour le programme " aimez ces air(e)s... ". 
    Les concepts de la Négritude, de l’Antillanité, de la Créolisation et du Tout Monde, sont autant de manifestes antillais fondateurs de la pensée singulière martiniquaise. Ils  marquent l’ambition d’interroger l’Universalité et ses cosmogonies.  Par ses actions interculturelles et ses performances poétiques le programme "aimez ces air(e)s..." propose des invitations au voyage pour ne plus être les esclaves martyrisés du temps.

     
      
    Tournages et Projections de Films, Exposition, Débats, Performances poétiques, Dégustations musicales et culinaires, … 
    En hommage aux dissidents, aux résistants et aux victimes de catastrophes naturelles, de guerre et de crimes contre l’humanité, l’exposition collective itinérante "aimez ces air(e)s...", ainsi que les performances artistiques "M... KREOL" rythment nos échanges interculturels et rappellent combien il est important de rester vigilant face au "Devoir de Mémoire", et de se mobiliser par des actions solidaires qui ont du sens.



    Ces initiatives sont enrichies et valorisées en amont et pendant chaque escale par des actions pédagogiques à destination des collèges, des lycées, des universités, des écoles d’arts et des conservatoires de musique, sous forme de conférences, de rencontres littéraires, d’ateliers et masterclass pluridisciplinaires (voix, conte, chant, danse, tambour, flûte, kayamnb, piano, ..), d’exposition, de tournages et projections de films, etc.



    L’OMCM tient à remercier tout particulièrement, la Ville de Caen, l’UNESCO, l’OIF, l’ONACVG, ses partenaires et bénévoles qui la soutiennent tant localement qu’internationalement et sans qui ces actions ne pourraient être proposées au public.



    Et après...
    Le programme "AIMEZ CES AIRES... AIMEZ CES AIRS..." porté par le Festival Itinérant Margose, continuera de diffuser "ces airs aimés" par ses "voix liées, voies liées, voiliers", cap vers les principales Villes Capitales d’Europe et du monde pour ouvrir symboliquement et spirituellement les "Portes ... de l’Espoir" de son rêve d'échanges et de dialogue interculturel pour célébrer la pensée et le souffle du poète de l'universel réconcilié Aimé Césaire, aimez ces aires, aimez ces airs...

     

    Contact Presse et Médias : Maxime KREOL

    – mobile : 06 74 19 33 60 / 06 96 960 888 – mèl : mkreol972@gmail.com

    Article précédent :

    http://aimecesairecelebrations2013.eklablog.com/aimez-ces-aires-aimez-ces-airs-porte-par-le-festival-itinerant-margose-a93352591 

     


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  •  « Non an nou » par « Le comité marche du 23 mai 1998 » aux Editions Jasor

    50,00 €

    Avant 1848, la très grande majorité des  Antillais n’avaient pas de noms de famille. Un prénom, un surnom et un matricule (à partir de 1839) étaient leur seule identité. Difficile dans ces conditions de fonder une famille, une lignée... Ce «privilège» fut pendant 213 ans, celui d’une petite minorité de «Blancs» et d’«hommes de couleur» libres.

     

    Seuls ces derniers étaient inscrits sur les registres d’état civil, dans les catégories, naissances, mariages et décès. Eux seuls avaient le statut d’Homme. 

     

    En l’an 1848, année de l’abolition, des officiers d’état civil, parfois anciens maitres, mandatés par la commission dirigée par Victor Schœlcher, nommèrent les quelque 80.000 «sans-noms» de la Guadeloupe.

    Ce sont ces patronymes que la plupart d’entre nous portent aujourd’hui. Ce sont nos noms de famille.

    Durant trois ans, des dizaines de Guadeloupéens et Martiniquais, de tous âges, ont passé leurs journées et leurs nuits à photocopier et à recopier les «registres des nouveaux libres» sur lesquels avaient été notés les prénoms et matricules d’hommes, de femmes et d’enfants nommés en 1848.

    Ces militants de la mémoire et l’identité, membres du CM98, ont été à la rencontre de dizaines de milliers d’aïeux dont nous n’avions pas la trace de vie.

    À la loupe, ils ont déchiffré les lettres des prénoms et les chiffres des matricules de ceux qui étaient nés « marchandises ». Ils ont rencontré des dizaines de Misérine, de Souffrance, de Solitude, de Sétout, de Assé… Ils ont rencontré, nos parents, vos parents!

     

    Parce qu’ils ne méritaient pas l’oubli, parce que la meilleure sépulture des disparus est le cœur de leurs descendants, voici les prénoms et matricules de vos aïeux, de ceux que nous avons pu retrouver. Voici donc Non An Nou Le livre des noms de familles qui ranime le souvenir de ceux dont l’oubli était le destin. 

     

    Le comité Marche du 23 mai 1998 (CM98) est une association créée en 1999 par les organisateurs de la Marche silencieuse du 23 mai 1998 qui réunit à Paris 40 000 personnes, principalement des Guadeloupéens et des Martiniquais lors du 150e anniversaire de l’abolition de l’esclavage.

     

    Considérant qu’une communauté ne peut vivre et construire son devenir dans le déni et la honte de son histoire, le CM98 a combattu sans concession les conceptions assimilationnistes du «tous nés en 1848», des «commémorations de l’abolition de l’esclavage» de la République française.

    Après 10 ans de combat, le CM98 a su unir la communauté antillaise et imposer la reconnaissance officielle du 23 mai comme journée dédiée spécifiquement à la mémoire des victimes de l’esclavage colonial.

    Aujourd’hui, le CM98 est une association nationale qui prend en charge les problématiques identitaires et mémorielles des Antillais, des Guyanais et des Réunionnais dans le but d’améliorer leur insertion au sein de la République.

     

    En 2007, il crée l’Atelier de Généalogie et d’Histoire des Familles Antillaises dont le but est d’aider les Antillais à connaître et à se réconcilier avec leurs aïeux.

     

     

     http://www.perspektives.org/Article.php?id=91

     

    http://www.cm98.fr/index.php option=com_content&view=article&id=193&Itemid=64

     

     

    http://www.cm98.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=72&Itemid=30

     

     « Non an nou » par « Le comité marche du 23 mai 1998 » aux Editions Jasor

     

     

     « Devant la multiplication des mariages contactés entre blancs et femmes de couleur  en Guadeloupe, des directives venues de métropole,   interdirent désormais qu’un enfant mulâtre porte le nom de son père blanc, même si ce dernier était marié à la mère. Elle permettaient même la confiscation d'enfants issus de telles unions pour les mettre à la disposition de la paroisse.

    Ainsi avant la promulgation  de ces lois, un « Monsieur Desruisseaux » de Vieux-Habitants avait pu reconnaître tous ses enfants légitimes.

    Son épouse étant décédée, il épousa en seconde noce la jeune sœur de cette dernière. Mais tous les enfants issus de cette seconde union ne furent autorisés qu’au port du prénom du père « André ».

    Pourtant ils étaient tous frères et sœurs de la même lignée, du même sang et de la même filiation.

     

    De la même manière des jeunes filles de bonne famille ( blanches, mulâtres ou câpres) qui enfantaient   hors mariage, à cause de pressions familiales et sociales, ne pouvaient reconnaître légitiment leur descendance illégitime, et leur donnaient leurs prénoms afin de ne point entacher leur nom de  famille.  

    Ces enfants, dits " bâtards", étaient baptisés le samedi derrière la porte de l'église, car ils n'étaient pas autorisés à  pénétrer dans les fonds bâptismaux.

     

    D'autres enfants illégitimes naissaient également de pèreS et de mères inconnus (père ou mère déjà mariés par ailleurs ou ne voulant pas se fourvoyer dans cette descendance), la paroisse leur choisissait alors comme nom de famille le prénom de la mère ou même de la Ma' Bo qui était venue les présenter. En effet, l'église a tenu les premiers registres d' Etat Civil » par Chantal  Sayegh-Dursus

     

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    Elokans de Véronique Larose d'Août 2013

    Véronique Larose en août aussi : 

     

    Télécharger « ElokAnS55-AOUT 2013.pdf »


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  • Amis(es) de la Caraïbe et l’Afrique, bonjour, 

     

    Léonce Lebrun vous souhaite de bonnes vacances

      

     Fenêtre de tir…toute personne a sa chance, la deuxième, voir même une dernière, de reconsidérer son destin, sa trajectoire de vie, c’est la version individuelle… 

      

    Il en de même pour une communauté, une nation, un peuple, et l’on se place dans le domaine collectif, qui est l’objet de cet éditorial… 

      

    Précisément en cette année du 100è anniversaire de la naissance d’Aimé Césaire, nous peuples de la Caraïbe, Martiniquais, Guadeloupéens, avions une fantastique fenêtre de tir pour remodeler l’avenir politique de nos territoires. 

      

    Car il ne suffit pas de commémorer pour la forme , mais de mettre un contenu dans le rappel de la vie du célèbre écrivain-militant en l’espèce Césaire Aimé, dont la combat politique a porté sur un certain respect de sa race, une  dimension planétaire pour l’Afrique et surtout  un virage institutionnel concernant la Martinique, par la voie de l’autonomie interne, avec la création en 1956, du parti progressiste martiniquais, le PPM… une formation qui n'a du reste jamais dépassé la zone de la Capitale en terme d'adhésion ou d'influence populaire. 

     

     Et c'est au regard ce dernier scénario qu’apparaissent toutes les contradictions,  les incohérences, dégageant un certain malaise au sein de la société martiniquaise, au même titre que celle de la Guadeloupe et la Guyane, ces mêmes  problématiques que l'on observe dans les mouvances de la diaspora caribéenne en Europe, mais c'est un autre débat bien entendu... 

      

    C’est un fait historique qu’ Aimé Césaire a été l’un des acteurs du vote de la loi du 19 Mars 1946, faisant de la Guyane, la Réunion, la Martinique et la Guadeloupe, des départements dits d’Outre Mer, avec l’espoir pour nos parlementaires de l’époque de voir instaurer pour les habitants de ces territoires, une égalité de traitement dans tous les domaines, notamment la couverture sociale, mais avec le temps et la pratique sur le terrain, ils déchantèrent. 

      

    Et il s’avère qu’ Aimé Césaire n’a jamais été un départementaliste affectif, sans devenir pour autant  un chef de guerre, ça se saurait, seulement en revisitant l’Histoire, il a dû se raviser face à une situation politique désespérée, une société  bloquée, sans issue, mais sans se renier, demeurant  sur sa terre natale jusqu’à la fin de son  existence, alors que Frantz Fanon brillant  psychiatre, écrivain-militant, d'origine martiniquaise, étant arrivé sans doute à la  même conclusion , a franchi le Rubicon se mettant au service de la lutte du peuple algérien pour son indépendance. 

      

    Mais nos hommes politiques actuels, dont certains se déclarent autonomistes..., indépendantistes..., ont –ils retenu la pensée d’Aimé Césaire, à mon humble avis nous en sommes loin. 

      

    Effectivement, en ces journées des 20 et 21 Juin 2013 à Fort de France (Martinique) c’est l’effervescence devant Conseil général, avec la réunion du Congrès, une spécificité martiniquaise, réunissant les membres du Conseil Général et Régional… 

      

    Bien que connaissant l’ordre du jour, et les objectifs de ce Congrès qui va à Canossa pour quémander de l’habilitation et une extension de compétences octroyées par  la bienveillance Paris (France) je veux connaître le sentiment de l'homme de la rue en interpellant un honorable passant... 

      

    … «Dites Monsieur, pourquoi tout ce tohu- bohu devant le siège du Conseil général » et je fus servi... 

      

    Ou paka viv ici missié ya, cés mounes ta la ka fai nous chié, tout la jouné en lo dien dien pou a hien, yo ka volé l’agent pays ya… 

      

    Sans commentaire avec la traduction… 

      

    …Vous ne vivez pas  à la Martinique Monsieur, ces personnes nous emmerdent toute la journée avec leurs comédies qui ne mènent à rien, ils volent l’argent du pays… 

      

    A vrai dire en tant qu’observateur averti, il m'est difficile d’abonder en ce sens, mais c’est une opinion comme une autre qui ne fait pas honneur aux élus du pays.. 

      

    Car en ces périodes de commémoration et de souvenir tous azimuts, nous  eûmes, partisans d'une Nouvelle Caraïbe, apprécié un remake du Serment actualisé du jeu de paume (20 Juin 1789) un temps fort  de ce prologue de la Révolution, qui présageait  le glas de la monarchie absolue dans ce royaume d’antan, conduisant fatalement Louis le XVIe et son épouse Marie-Antoinette là où vous savez, en ce 21 Janvier 1793... 

     

    Oui, une déclaration forte du genre... 

      

    …Peuple de la Martinique, par votre volonté nous sommes réunis dans cette enceinte, et en ce jour nous proclamons solennellement avec vous, l’autonomie pleine entière de ce territoire, notre Patrie... 

      

     ...Nous siègerons sans défaillance, jusqu’à ce que le Gouvernement de Paris accède à notre légitime revendication, au nom du droit des peuples à disposer d’eux- mêmes... 

      

    Mais il ne faut pas rêver, car les hommes sont de moins en moins courageux depuis l’invention de la poudre à canon, et puis ces honorables élus, attendent avec patience la mise en place de ce serpent de mer, du nom d'Assemblée unique oubliant au passage l'adage de Fanon...le droit, ça s'arrache... 

      

     Voilà une fenêtre de tir évaporée, ce n’est ni la première, ni la dernière, car en terre caribéenne nous y sommes tristement coutumiers. 

      

    Et si vous le voulez bien, nous revisiterons l’Histoire prochainement pour mieux comprendre ces déconvenues avec le dernier volet de fenêtre de tir 

      

     Avec toute l'équipe d’AFCAM, je vous souhaite de bonnes vacances à toutes et tous et à bientôt. 

      

                                          

     

    Léonce LEBRUN
    Pt de l'Association "LE RELAIS DE GOREE"
    email : 
    lebrun.leonce77@orange.fr
     
    RELAIS DE GOREE
    BP 3163
    69211 LYON CEDEX 03
    site : 
    www.afcam.org


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